La Salle à Manger

Hrp/Gnia gnia gnia, d'ou t'as vu le billisme, j'ai perdu beaucoup de fois mon energie non? nan mais...sinon je te boude moi^^/hrp

Lucifel regarda le combat, il riait à gorge déployer et frappa dans ses mains.

Bravo messire, quel grace digne d'une donzelle, on dirais que vous aimez les hommes, mais alors vous derviez aller voir les maisons spécifique à ces plaisir, ici c'est l'honneur guerrier, pas des calins entre hommes.

Lucifel s'en retourna, laissant les sirs entre eux, et allant se reposer, même si il n'avait rien laisser paraitre, il avait grandement besoin de se reposer sous peine de perdre définitivement sa force et ne devenir qu'un simple immortel sans force, condamné a souffrir à jamais.

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

Slorak observa osn adversaire le fixant droit dans les yeux ! son coeur battait a un rythme stable et aucune trace de peur ne laissait a imaginer sur son visage. Les batailles déja mené , furent bien plus difficile et slorak n'était point inquiet e cette escarmouche ridicule !

Il fit un pas en avant relevant son épée. la défence de son adversaire était bien posé et l'approché sera difficile, seul l'experience du seigneur des terres lui pemrettrai sans doute de venir a bout de son adversaire. Malgré son grand age,il conservait uen fraicheur apparante au combat, bien que ses vieux os et que son souffle court ne lui permettait pas les prouesse martiale d'antant.

Slorak plissa les sourcil et observa avec froideur so nadversaire. comment un homme pouvez il osé venir sur ses terres pour l'insulter ! La lame de slorak scintillait toujours et le Roi s'appretait a lancer l'attaque qui serai sans doute fatale a l'homme.

Arekh, je me fiche de savoir d'ou vous venez et d'ou proviens votre force et votre réputation. la seule chose d'importante a mes yeux et votre comportement face a un roi et face aux paladins les plus digne de mon ordre ! je vais donc vous montrez la notion essentielle a tout homme...la vertue. Mais la vertue n'irai pas loin si la vanité ne lui tenait pas compagnie ! et comme ta vanité est trop pesante, on peut donc dire que la vertue n'est pas la ou règne la vanité ! et seul les vertueux peuvent venir a bout des hommes qui n'ont pas l'appréhension de la mort, seul limite a la réalisation de grande chose !....Tout comme moi ! tu va regrettez tes paroles sournoise jeune ami !

Slorak avanca rapidement vers son adversaire levant son épée, s'appretant a porter un coup haut, mais il n'en fut pas, et le seigneur se rua sur le dos glissant dans un grand fracas entre les jambes de son adversaire et s'aidant de son épée planté dans le sol, comme d'uen bascule il se redressa et assena un coup fin mais puissante dans le dos de so nadversaire, avant de faire un pas vers l'arrirèe reposistionnant sa garde.

Alors a quand accepteras tu ta défaite, contre un homme agé, qui n'a plus la force de son passé,prefère tu vivre dans l'intelligence, ou mourrir dans la honte ! ?

[hrp]Mille excuses Sereglin, je vais me faire des defauts vite faits, et je retoucherais plus à personne, promis. Et pour ce qui est du changement de mondes, as-tu déjà lu du Moorcock ? avec le multivers qui est un ien entre les monde via espace-temps (enfin d'apres ce que j'ai compris) ou encore plein d'autre bouquins qui font apparaitre dans un monde médieval (avec magie et tout le bazar ok mais bon...) des connections entre differents monde ? D'un certains sens, ça en a un, autant que des épées démoniaques et Lucifer parlant gentiment à une humaine déjà morte un petit nombre de fois...[/hrp]

Le vieux roi frappait fort, plus qu'Arekh ne le pensait de prime abord. Le Messie controlait désormais difficillement sa respiration. Ses ailes consommaient trop de nécromancie, et son corps quelques fois centenaires risquaient désormais la nécrose.

Il était dans un tel étât de fatigue et tellement concentré sur son combat qu'il ne remarqua pas la réplique désobligeante de Lucifel, et il ne compris qu'un petit peu de la tirade de Slorak. La Soif faisait surface, mais il ne devait pas tuer sur le domaine des Lhacarans.

Le roi chargeait à nouveau et Arekh prépara un parade quand Slorak sortit de son champ de vision et réapparu dans son dos, lui assénant un coup de dos. Celui-ci s'adressa de nouveau à lui et cette fois-ci, Arekh comprit tout les termes du message.

Roi, moi aussi je suis agé, ne t'en es-tu pas rendu compte ? Tu ne sais pas, ton corps est encore en vie. Le mien ne serait plus que poussière si je ne maitrisais pas la nécromancie. Regarde qui je suis vraiment.

Les ailes disparurent, puis toute forme de nécromancie. Le corps d4arekh se désagrégea et bientôt il ne resta plus que l'armure, épée et bouclier dans les gantelets. Le pendentif lévitait toujours à sa place.

Une voix d'outretombe s'éleva alors.

Me voici tel que je suis vraiment, sans l'influence du Chaos. Juste une âme torturée, alors maintenant comportons nous correctement.

Arekh réapparut dans l'armure.

Nous sommes censés etre alliés non ? Alors serons nous la main. Au fait vous êtes une fine lame. Je suis ravi de ne pas vous avoir comme ennemi.

Et il tendit la main vers le monarque.

hrp

Ok, je rectifie...

Ce qui me gène en fait, c'est le combat sans fin, chacun disant "je suis le plus fort, tu ne peux pas me battre" et invoquant les plus grands démons de la terre. Si tu regarde les règles de BK, c'est une section RP qui doit être vraie donc ni science-fiction, ni fantastique.
Ici, on pourrait considérer comme une zone RP fantastico-médiéval. Tu propose un lien entre plusieurs mondes (non j'ai pas lu le livre, connais absolument pas...). Hors, entrons dans les mots scientifiques, le passage entre les mondes est purement impossible (c'est du fantastique je te l'accorde). C'est totalement inconcevable. Restons un peu sur Terre.
Je ne rechigne pas sur les pouvoirs démoniaques. Pourquoi pas. Slorak est... (j'ai pas très bien compris ce qu'il est) Lucifel est un démon (à ce que j'ai compris) Seniel est humaine, personne a dit qu'elle n'était pas humaine et qu'elle était morte déjà. Quand à moi, je me réserve un pitit pouvoir que je ne dis pas... GNIARC GNIARC GNIARC... Tu as le droit d'être NON-humain, tu fais ce que tu veux, mais ce que je blame, c'est le manque EXTREME de réalisme.

MP pour question (on s'éloigne de la zone RP)

hrp

Sereglin avait suivit avec attention le combat que donnaient Slorak et Arekh. Plusieurs fois, il se demanda comment tout cela allait finir. Il eut même la réaction de prendre son épée pour aider son roi, mais Slorak se débrouilla tout seul.

Enfin, le combat s'arrêta et Arekh tendit la main comme pour terminer l'altercation. Sereglin se leva, gardant toujours une main sur la garde de l'épée, sans pour autant parraitre agressif, mais juste prudent.

Son visage resta impassible, ses yeux allant de son roi à l'ambassadeur. Il s'approcha lentement, d'un pas régulier, s'arrêtant près de son roi, restant légèrement en retrait.

Arekh restait à, main tendu. Sereglin se déplaça dans e dos du roi. Il ne me faisait pas confiance, peut-être croyait-il que j'allais prendre le roi en traitre. Ce serait simple même : bloquer sa main d'arme pendant le salut d'arme et le décapiter, un jeu d'enfant...

Non! je ne devais pas, malgré le démon qui me tentait.

Mais que faisait se roi ? Il me laissait là à me ridiculiser. Ce n'est pas parcequ'il était sur ses propres terres qu'il devait se permettre cela. J'étais roi aussi ! et plus puissant de surcroit ! Il allait regretter...

Non, encore une fois le démon voulait me manipuler. Je le repoussai faiblement mais il revint à la charge, une fois puis deux, à chaque plus viollemment.

Le choc fut trop violent, Arekh vacilla, s'affeça et tomba finalement à genoux.

Non, laisses moi tranquil, tires toi de là.

Tu nous dois la vie dit un voie émanant aussi d'Arekh, bien qu'elle sembla loitaine et... inhumaine. Tu nous dois obéissance. Nous réclamons le sang. Obéit et TUE.

Je... je ne vous dois ri... Aaaaaaaaaaah

Arekh se roula à terre, pris de convulsions.

Qu'allais tu dire innofensif mortel ?

Je...Il reprit difficillement son souffle et tenta de se relever Je... JE NE TE DOIS RIEN !

D'un coup, Arekh fut sur pied, hurlant au Vide, aux Enfers

JE SUIS VOTRE MESSIE, VOUS ET VOUS SEUL ME DEVEZ OBEISSANCE

Un silence plana, lourd de menace, la terre sembla trembler au loin, comme si quelque chose d'horrible s'approchait. Puis le silence à nouveau.

Maintenant que mes petits problêmes personnels sont reglés,reprenons où nous en étions. Et sachez que mes démons, ces petits roquets, ont été matés. Je ne risque plus de vous attaquez en traitre désormais... sauf de mon plein gré...

Et avec un sourire maquiavélique, Arekh réitera son geste, plus pâle que jamais, maitrisant difficillement ses derniers spasmes, maid toujours souriant...

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

Slorak sentit alors sa lame faire mouche et s'écraser en finesse sur l'armure dorsale de son adversaire !. le combat s'arreta et so nadversaire tendit la mainen bon enfant ! Le sombre seigneur s'appreta a lui saisir en gage de sa bonne foie, mais son épée scintillait toujours le danger était pesant, et slorak retira sa main la posant sur sa garde

Puis la vrai démosn apparut, Slorak mit ses bras en croix faisant signe au garde de ne pas réagir ! Arekh semblait lutter en lui même, puis finalement il se resaisit et Sloak se retrouva face a la main tendu de son camarde.

Il n'hésita pas rangeant son épée au fourreaux ,il saisit la main d'Arekh et la serra dans la sienne! leur alliance venait d'être scéllé et conlut ! Slorak après avoir finit sa poigne de main digne d'un roi s'en retourna s'assoir, faisant signe a l'émissaire de le suivre

Il s'installa ses serviteurs lui réaccrochant sa cape royale sur les épaules et lui apportant un verre de vin des vignes du chateaux ! une exellente cuvée.

Très bien Arekh, je dois avoué que ce combat a été le seul moyen de me prouver votre réelle puissance, et tout comme vous je partage la sympathie d'être votre allié ! a présent votre ordre et vos armée seront les bienvenues ces terres et si vous le souhaitez une chamber vous sera reservée dans mon domaine !

Sereglin suivit Slorak. Il regarda Arekh se démener pour reprendre possession de son corps et esprit. Il combattait le démon qui réclamait plus de carnage et de sang. Après quelque pugilat, l'ambassadeur reprit contrôle de lui-même.

Sereglin regarda la poignée de main et lacha lentement la garde de son épée. Il se tourna lentement vers son roi et dit à voix basse.

- Excusez-moi Seigneur, mais le temps se fait long, je dois retourner auprès de mes sujets. Seniel m'accompagnera. Je vais l'éloigner quelque peu de Lucifel, cela vaut mieux pour le bien des troupes.

Il s'inclina posant un genou à terre. Puis sans plus de cérémonie se dirigea vers la sortie, son capitaine le suivant rapidement, après lui aussi s'être incliné humblement.

[Prochain Post: De l'autre côté des remparts]

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Seniel arriva quasiment courrant. Le froid la suivait et derrière elle, elle laissait trainer des myriades de flocons, annonciateurs de froid dans les couloirs. Sans perdre de temps, elle demanda où se trouvait le roi et un serviteur, lui indiqua la salle à manger. Elle s'y dirigea précipitemment.

Dans un fracas, elle repoussa la porte, trouva le roi en compagnie de quelques nobles en train de manger près d'un grand feu. La neige sur sa cape de fourrure fondit rapidement face à la chaleur de la pièce, malgré les hauts murs de pierres froides. Elle s'inclina près de son roi et murmura

- Mon roi, le Seigneur Sereglin vous fait savoir qu'il ne reviendra pas avant quelques jours ayant la nostalgie de son pays.

Les derniers mots étaient amers voires même sarcastiques, et elle ne le cacha pas. Sereglin était un être froid, plus glacial que la glace éternelle et pas un compagnion de boisson, ni de carnage. Elle se demandait bien pourquoi il avait joint les Lhacaran, puis elle haussa les épaules et attendit une réplique du roi, toujours un genou à terre.

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

Slorak observa son paladin agenouiller face a lui. il n'aimez pas le principe de l'inclinaison,mais il était obligé de l'appliquer pour imposer le respect sur ses terres

Il s'empressa de faire signe a Seniel de se relever ! il accompagna son geste de sa voix ténébreuse et royale

Relève toi mon enfant ! un paladin n'as pas a posé le genoux a terre

Slorak fit quelque pas vers une fenetre et observa l'exterieur quelque temps en silence

je te remercie pour ton information ! en son abscence je vais te confié une tache ! assure toi que ma paroles soit porté sur mes terres,puis-je compter sur toi ?

Elle se releva quand son roi lui demanda de le faire. Elle resta cependant sur place, toisant les autres présents d'un air fier et haineux. Ses yeux noirs fixèrent un à un des baffreurs jusqu'à ce qu'ils tournent la tête. Un sourire mauvais sur ses lèvres.

Le roi se leva et alla regarder par la fenêtre. Que sa parole soit porté sur ses terres? Elle aussi regarda par la fenêtre. Elle ne voyait pas pourquoi elle devait faire ça, mais bon. Au moins cela l'occuperait.

- Oui, Seigneur...

Elle regarda la porte par laquelle elle était entrée puis de nouveau reposa son regard sur le roi. Elle se demandait si elle devait y aller maintenant.

- Seigneur, y'a-t-il un endroit en particulier que vous souhaitez en particulier?

Dernier post ==> les écuries

J'entrais dans la salle à manger en croisant Seniel. Je l'a salua d'un bref coup de tête, puis me dirigeai vers le Roi, qui mangeait tranquillement.

Encore un fois, je ne le saluai que d'un bref hochement de tête.

Bien le bonjour Slorak. Puis-je encore abuser de votre hospitalité en profitant de votre nourriture une dernière fois ? Avant que je ne reparte vers mes terres.

Alors qu'elle entendait une réponse de son roi, l'Ambassadeur ayant défié et Lucifel et Slorak entra et demanda à partager la table du roi. Les nobles le regardèrent bizarement comme s'il venait d'un trou à rat.

Il l'avait cependant salué, Seniel répondit encore plus brêvement et le toisa. Alors qu'il était près du roi, elle pencha la tête légerement sur le côté et regarda la carrure d'Arekh, un sourire naquit à ses lèvres, mais elle ne dit rien.

L'Ambassadeur voulait retourner sur ses terres, Seniel se dit que vraiment les Terres de Lhacaran n'étaient pas du tout accueillantes vu que tout le monde voulait repartir. Sereglin et son toutou de capitaine, Lucifel qui était nul part visible et l'Ambassadeur.

Elle resta à sa place, les deux mains cachées sous l'épaisse cape, dont une tenant fermement la garde de son épée Huineros.

Un porte vola en éclats, sur le seuil, Lucifel, apparu suivit de quelque gardes bien à lui. Il ne souriait pas, et regarda dans la direction de son roi, il s'avança vers celui ci et posant un genoux à terre, parla.

Je vous présente mes respects seigneur, je viens d'ériger un sanctuaire pour nos armées, ainsi, ceux qui voudront pouront y chercher la force de se battre...et nous aurons ainsi l'assurance de ne jamais perdre notre domaine.

Puis se relevant, il s'inclina devant Seniel.

Ravis de te voir Seniel...j'espére que tu n'as pas oublier, que nous avons une affaire en cour...je te tuerais...enfin, pas maintenant!! Pour le moment, c'est une joie de te revoir parmis nous, et j'ose esperer que Sereglin nous reviendra vite.

Puis se tournant vers Arekh il souria avec cruautée.

Tiens...tu es encore la toi, tu aimes abuser de notre gentilesse hein?...

La porte derrière elle vola en éclat. Sa main se serra sur la garde de sa longue épée et elle se retourna précipitamment. Lucifel apparut dans l'encadrement de la porte. Elle soupira, déçue, ennuyée... Quand savait-elle?

Elle le regarda aller vers le roi et présenter ses hommages. Alors qu'il parlait elle fixa d'un regard noir les gardes qui le suivaient comme son ombre. Puis il vint vers elle et s'inclina également. Elle en fut surprise et releva un sourcil d'étonnement, mais le reste de son visage resta neutre.

A ses paroles, instinctivement sa poigne se resserra, mue par la haine, elle aurait voulu dégainer, mais une petite voix lui dit que non. Elle soupira et roula des yeux quand il lui rappela sa promesse. Comme si elle avait oublié...

Elle se tourna vers le roi, mais celui-ci n'était toujours pas décidé à répondre à sa question. Elle attendrait donc, elle en était bien obligé, même si la patience n'était pas d'une de ses qualités... Elle laissa échapper un nouveau soupir.

Ses yeux si noirs et haineux étaient ternes, ses traits tendus, avec lenteur elle desserra sa prise sur son arme et resta dans l'ample cape de fourure. De nouveau elle leva les yeux sur Lucifel. Elle ne pouvait pas le cacher, il lui avait manqué. Brusquement elle esquisça un sourire, pas très joyeux d'ailleurs et dit

- Le Seigneur Sereglin est resté dans son pays, peut-être ne veut-il pas vous revoir... Est-ce là une raison pour laquelle il n'est point rentré, cela je ne le sais, pourtant, Damoizeau, quand on vous connait, on ne peut que revenir pour vous affronter une nouvelle fois.

Elle éclata de rire après lesdites paroles si formelles. Elle retrouva son air désagréable et s'en alla près du feu qui brûlait avec hargne dans l'âtre. Elle exposa ses mains pâles par le froid de sa chevauchée et les laissa un instant réchauffer, tournant délibéramment le dos à Lucifel.

Lucifel surgit dans la salle, escorté par quelques hommes. Arekh ressentit de la lassitude : encore un affrontement... Puis lucifel lui adressa la parole.

Ecoute Lucifel, je n'abuse pas de ta gentillesse, tu n'en a pas. Je suis la sous l'hospitalité de ton roi. Celui auquel tu as juré fidélité ! Importunes moi, et c'est lui que tu déranges !

Une porte s'ouvrit. Un garde entra. Egalement, un Etranger entra.

D'une drôle de démarche, il marcha. De drôle d'habit, il était vêtu.
Un par un il détailla, s'arrêtant plus longuement sur le roi.

Lentement il s'approcha. Encore un instant, le roi il scruta.
Regard froid mais nullement menaçant.

Armes dans le dos, lames recourbées, kimono gris, longs cheveux noirs.
Sans cheval, sans armure. Neige sur simple habit.
Oui, Etranger il était de ces terres. Dans toute l'Europe, nul homme pareil.

Un instant il resta. Fixant le roi.
Puis sur les deux genoux, il se mit et s'inclina.
Les mains jointes et d'une voix lointaine il murmura.

Fidèle je resterais, loyal je serais. Mon bras est votre bras. Mon arme est votre loi. Ordonnez, j'obéirais.

Seniel se retourna, une fois ses mains réchauffées. Le roi était toujours aussi muet, tout comme l'était Lucifel. Elle fit une moue dubitative quand elle vit arriver un drôle de bonhomme, bizarement habillé. Rien que de le voir comme ça, soit elle l'aurait prise pour un mendiant, soit pour un fou. Il lui donnait froid rien que de le voir comme ça. Elle le regarda s'incliner dans une position bizarre. Décidément, il était étrange. Sa manière de parler fut également étrange.

Elle haussa les épaules et se dirigea d'un pas souple et félin vers son ami de toujours (:p). Elle sourit à Lucifel et en fit le tour lentement, passant une main dans son dos pour revenir lentement sur son torse. Elle murmura

- Tu reste bien calme, contrairement aux autres fois. Aurais-tu perdu ta langue? Tu n'as même pas réagit à mes paroles. Serais-tu malade? Enfin bon... Si c'est ta nouvelle façon d'agir... Laisse-moi en rire

Pure ironie bien entendue. Elle s'écarta du démon et retourna vers le roi. Peut-être n'avait-il pas entendu la question qu'elle avait posé. Son visage se durcit et son regard erra un instant à travers la fenêtre.

Arekh regarda l'Etranger entrer. Kimono et sabre. Salut typique, tout comme le serment. Un homme de l'est lointain.

Farouche guerrier, son style de combat allait sans doute en surpprendre plus d'un. Cette race était forte et Arekh avait cohabité avec eux pendant quelques temps, avant de venir en Europe.

S'il venait en allié, Sorak avait tout interêt à l'accepter. Si le roi daignait répondre bien sur. Cea faisait maintena,t quatre personnes qui attendaient son bon vouloir. Ce type savait se faire désirer tiens !

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

Slorak observa la jeune seniel,un sourir au coin des lèvres . il observa l'horizon !

oui tu pourrai aller au confint du monde, mais je ne suis pas un partisant de la convertion forcée, laissons le temps faire ! Meme si mes vieux os ne sont plus capable de supporter le poids des batailles

Soudain Arekh fit eruption dans la pièce. Il demanda l'hospitalité et le couvert une fois de plus ! Slorak ne rechigna pas, il lui fit un simple de signe de tete accompagné de quelque paroles

Je traite mes visiteurs comme j'aimerai qu'il me traite, alors ce chateau est tiens mon ami !

Puis lucifel fit a son tour irruption ! il parla d'un sanctuaire bati pour les guerriers ! Slorak approba l'idée ! le seigneur lui fit comprendre

exelente idée, car je veux que les armée soit prete a la guerre

Un autre homme s'approcha ! il regarda le roi et fit serment de fidélité. Slorak fut soulagé par la venu d'un nouveau soldat dans ses rangs. Il lui fit signe de se relever d'un signe du bras !

ta fidélité me touche,j'attends que tu me le prouve sur le champ de bataille ! mais dis moi quel est ton nom !

Pour une des premières fois, Seniel sourit. Franc et sincère. Elle inclina le buste pour prendre connaissance de la parole du roi et se tourna vers Lucifel.

- Mon ami... Il semblerait que tu ai gagné quelque chose durant mon absence... Le silence...

Elle tourna les talons et n'accorda plus un seul regard à quiconque. Elle s'en retourna près du feu et défit sa cape de fourure. Elle la laissa tomber à terre et un serviteur vint la lui ramasser. Il disparut par une porte sans bruit.

Un noble peut-être un peu plus preux ou fou se leva et vint la voir. Il hésita mais finalement se dressa fier près d'elle et dit d'une voix toutefois mal assurée

- Madame. Ici seuls les capitaines du roi et les gens titrés peuvent entrer. Je vous prierais, si vous me le permettez, de sortir.

Elle le regarda, le toisant, son regard noir exprimait toute la haine qu'elle éprouvait à l'égard de cet homme. Lentement elle tira de son fourreau, son épée. Le noble commença à trembler, entendant le métal crisser. Au coin de l'oeil elle vit le roi s'adressant au nouveau venu. Elle resta un instant immobile, puis laissa redescendre dans un claquement bref l'épée au fourreau. Elle se tourna et prit sans un mot la direction de la porte.

[Prochain post: la chambrée de Seniel]

Le roi demanda de se relever, le roi demanda de se présenter.
Alors il se releva, alors il se présenta...

Mon nom par le passé fut effacé
Un nouveau nom me fut donné.
Seigneur, je vous en prie, par pitié
Appelez-moi, simplement, l'Etranger...

A nouveau il s'inclina, à nouveau les gens il toisa.
Toujours un sourire il afficha, étrange Etranger il resta...

La femme était parti, sans parole et sans bruit
Le noble au beau parlé, failli mourir d'une lame affutée
Mais l'Etranger ne la sorti, il ne voulait voir un occis
La n'était point le moment opportun, un jour certain...

Vers Lucifel il se tourna, un sourire il addressa
Point mesquin ni odieux, encore moins joyeux
Peut-être un défi silencieux.
Avec Arekh la conversation il n'engagea
Le silence seul régna...

Voyant le roi peut accomodé par son nom
Il dit d'une voix, d'un ton profond

Shizuka est mon nom véritable
Mais je ne suis pas un homme affable
L'Etranger me convient parfaitement
C'est ainsi que l'on me nomme maintenant...

Et bien, en quelques semaines, ce chateau avait bien changé. Lucife ne répondait pus aux provocations, et un homme, un étranger venait d'arriver. Un manipulateur de feu, un reclus, sans doute hors-la-loi sur sa terre natale.

Dis moi Shizuka, ou Etranger si tu y tiens, j'ai quelque peu parcouru ton pays natal, mais je n'arrives pas à savoir d'où tu viens avec ton accent. Shizuka n'est pas un nom courant, et Etranger encore moi. Ne seras-tu pas un des ses samouraïs sans maître qui arpentent le monde à la recherche d'une mort qui leur rendra leur honneur ?

L'Etranger me regarda, mais il ne dit rien, restant retranché dans son mutisme.

Désolé si je t'ai injurié. Oublies ça, il m'arrive d'oublier les règles de la politesse élementaire.

Et ainsi Arekh partit vers une table ou mangaient quelques nobles. L'un d'eux voulu se lever pour protester, mais un simple coup d'oeil sur mon armure, mon épée, et surtout, il ne put soutenir le regard du démon. Et Arekh se retrouva alors seul à table, content de son petit coup...

Comment dire, comment faire?
L'homme vint lui parler, l'homme vint le questionner
Mais en silence, l'Etranger demeura
Pouvait-il parler? Il semblait que oui
Le roi n'avait pas dit non, mais il avait ouï

Alors à la table d'Arekh, il vint s'asseoir
Non pas pour manger et encore moins boire
L'ambassadeur voulait savoir d'où il venait
Alors une réponse lui revenait

Petit village au Nord de mon pays
Sacagé, pillé, désormais détruit
Samurai? Grands Dieux non
Juste un homme sans nom
Point d'injure, aucune offence
Banale histoire qu'est la mienne
Je ris quand j'y pense

Il avait parcouru son pays, avait-il dit
L'Etranger sourit, il aimait ce qu'il lui avait dit
Des souvenirs passés refirent surface
Des sombre images de guerre lasse.

Shizuka n'est qu'un nom emprunté
Il signifie "silence pour l'éternité"
Mon vrai prénom, vous ne le saurez pas
Car il suppose avoir autorité sur moi
Si en mon pays vous êtes allé
Alors ceci vous reconnaitrez...

De dessous son ample kimono gris
Il sortit une statue d'un oiseau inconnu
L'Etranger sourit et dit

L'ibis est le représentant de mon fief d'origine
Niigata, là où les lames sont les plus fines...

Un point de marqué pour moi, Etranger avait une langue ! En tout cas ce n'était pas un samouraï sans maitre, bon point vu que ces samouraïs le devenait lorsqu'ils échouaient à proteger leur seigneur.

Et il venait de Niigata, vu l'ibis. Ah, Niigata et ses belles lames !

Oui, je connais Niigata. J'y suis passé, mais tu ne devais même pas être né ! Je n'y suis pas resté tres longtemps, mais c'est vrai que j'ai gardé le souvenir de très bonnes lames, ainsi que d'excellents épeistes... assez dur à tuer, il faut l'avouer... Mais quand je suis partie, la ville avait l'air solide, et tu me racontes qu'elle a été détruite ? Cela m'attriste beaucoup. J'y avais des amis, leur descendants n'ont peut-être pas survécu... Dommage.

Et alors, Arekh se remémora tout les amis qu'il avait eu par le passé et qui avait rendu l'âme... contrairment à lui...

Désolé mon gars, mais je crois que je vais sortir... Ce n'éait pas le bon jour pour que je me souviennes de tout mes amis trépassés...

Arekh se eva brusquement, salua brevement Sorak et sortit.

Next post ==> la cour.

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