La Salle à Manger

L'heure de la soupe avait sonné dans le chateau. Le chevalier se dirigea vers le grand hall, la salle à manger donnait sur le hall et Sereglin entra.

C'était une salle immense pouvant recevoir une bonne centaine de convives. Mais quand il n'y avait pas d'invité, seuls les capitaines étaient invités à la table du roi. La décoration était sobre. Le mobilier consitait en une longue table de ferme en U. De grandes nappes la recouvrait. Dessus quelques couteaux, quelques verres mais rien de plus. Des pages s'activaient à la préparation du diner.

Sereglin se dirigea vers la cheminée gigantesque dont une servante essayait de l'allumer. Il resta là à toiser les braises qui prenaient lentement alors qu'on apportait déjà les plats qui composaient le diner du roi.

La porte se rouvrit pour laisser passer son fidèle capitaine, lui aussi convié au diner. Il y avait d'ailleurs peu de gens invités et Sereglin tenait à ne pas arriver en retard. Son capitaine vint près de lui et resta en retrait maintenant le silence. Les cuisiniers installaient déjà les sellettes qui permettraient aux convives de manger plus confortablement.

La porte s'ouvrait ça et là pour laisser passer quelques pages qui portaient une fois un rôti fumant, une fois des pichets de vins, d'autres fois des paniers de fruits. Mais Sereglin fixait inlassablement le feu qui craquait devant lui. Son capitaine se taisait, en recul, regardant le va-et-vient des cuisiniers.

Puis certains convives arrivèrent. Quelques Comtes avec leurs dames, quelques nobles et leur épouse, mais aucun duc de sa connaissance. Il vit également certains grands capitaines de l'armée de Slorak, puis il vit entrer Lucifel et à ses pieds un grand chien noir.

Le silence s'était fait dans la salle, puis vint les chuchotements. Sereglin ne fit qu'un léger hochement de tête quand il croisa le regard avec Lucifel, mais ne quitta pas sa place près du feu. Il voulait attendre le roi pour s'asseoir car il savait que les nobles voulaient prendre place à côté du régent. Sereglin haïssait ce genre de banquet. Des révérences par ici, des paroles douces par là et par derrière, ils assassinent au couteau. Le Duc se languissait de sa Normandie natale.

Un Comte vint le trouver justement, mais le capitaine, habile dans l'art de parler, le dirigea vers une autre personne très délicatement et le Comte oublia même qu'il voulait parler à Sereglin. Le chevalier soupira. La seule chose qu'il voulait s'était manger tranquilement en companie du roi.

Lucifel répondis au hochement de tête de Sereglin et lui fit signe que ce genre de personnes autours d'eux lui donné envie de tuer, lui aussi aimé la paix. Un noble vint voir Lucifel et lui parla.

- Excusez moi de vous déranger, mais les serviteurs ne sont pas conviés ici, ni leur animal d'ailleur.

- Pardon?

Lucifel s'arréta net et regarda le dis noble, il n'avait pas d'arme et avait oté son armure, in n'était vétu que du bas de sa tunic, qui flotta au rythme d'un vent circulant, dans la salle, son patalon noir en dessous dévoila ses bottes et ses jambiéres honré de pointes, à leur vue le noble recula quelque peux.

- Il me semble que vous m'avez appelé...serviteur?

-...euh..oui...veuillez sortir et évitez de me menacer, vous devez m'obeir. C'est votre rang qui vous y oblige.

Lucifel pris le noble par le cou et le souleva, il le regarda avec cruautée et lui lança.

- Je m'appel Lucifel, je ne sers qu'une personne, c'est mon roi, je vous suis supérieur pitoyable humain, et vous me devez le respect. Ceci vous semble injuste?

-...ARGH...N..NON...PARDONNEZ MOI SEIGNEUR...

Lucifel le lacha.

- Je te pardonne, pour cette fois...

Le silence autour de lui le fit sourir, il posa le Noble à terre, et s'agenouilla. Il lui murmura le visage à quelque millimétre du sien.

- Si je te vois manquer de respect à mon copain le chien, je te coupe les bourse et te les fait manger.

Puis Lucifel se leva et marcha en direction de la place du ri, et s'y assis, prenant un bout et le mangeant. Il sentit une impression mauvaise et regarda le siége, il vit que c'était celui du roi, il se leva et s'assis à coté.

Sereglin esquissa un petit sourire mauvais et mesquin quand Lucifel remit le noble à sa place. Sans bouger de sa place près du feu, Sereglin regarda Lucifel prendre place sur une grande chaise, celle du roi. Il leva un sourcil d'étonnement, mais ne fit rien de plus. Lucifel ne tarda pas à s'appercevoir qu'il était à la mauvaise place et décida de s'asseoir sur une sellette.

Une épouse s'approcha de Sereglin, mais il partit de l'âtre sans même la regarder. Le capitaine après une courbette polie suivit son maître. Sereglin s'assit en face de Lucifel, de l'autre côté du roi. Son capitaine vint à côté. Les autres invités s'assirent sur les sellettes de libre et commencèrent à ventripailler.

Sereglin servit dans son assiette, une ventripotée de viande de toute sorte sortant du fourneau des cuisines. Avant même qu'il n'ait commencer à manger, son capitaine prit une part dans l'assiette et la manger, Sereglin le regarda et le capitaine lui sourit. Non, la nouriture n'était pas empoisonée.

Sereglin acquiesça et commença à se délécter de son repas. De temps à autre il jetait un regard sur le trône du roi, se demandant pourquoi il n'était pas encore là. Puis il regarda Lucifel. Et alors qu'il aurait pu se taire, il dit

- Tu connais l'histoire des Lames du Diable?

Le capitaine fut surpris de voir son commandant parler, puis regardant à tour de rôle Lucifel et Sereglin, il ajouta avec un large sourire

- Seigneur, ce n'est qu'une légende, des on-dits, rien de vraissemblable. On ne sait même pas qui a inventé cette histoire...

- Alors pourquoi y a-t-il une histoire si il n'y a rien de tangible?

- Vous avourez quand même que cette histoire est farfelue.

Sereglin ne dit rien, mais dans ses yeux si froids d'habitude, il y avait une lueur de malice. Il regarda Lucifel et répéta

- Tu connais l'histoire?

Suivit de ses serviteur personnels Slorak arriva dans la vaste pièce de marbre noire. la table au centre était impressionnante et il s'avanca sa cape royale trainant sur le sol.

il s'installa a la table et observa ses brave combattant et officiers. Ses yeux parcoururent la table et le banquet était digne d'un festin divin.

MEs amis je vous prit de bien vouloir profter de ce festin avant cette guerre qui nous menace

Lucifel regarda Sereglin et lui sourit avec malice et répondis à sa question.

- Je la connais en effet, je la connais même trés bien, et ce n'est pas une légende, il fut un temps....

Lucifel s'arréta et vis que tout le monde l'écouté, cela lui fit plaisir et il continua.

- Je disais donc, il fut un temps ou des forgeront ayant vendu leurs âmes au seigneur des ténébres Baal, forgérent dans les flammes de la géhenne, des lames, d'une rare beautée, des armes meurtriére, car elle ne pouvais être détruite, et choissaient leur maitre, étant lié à lui, et lui accordant l'immortalité, elle furent construitent au nombre de 7, comme les 7 cercles de l'enfers. Elles furent entreposé dans les forges de l'enfer, et n'en sortirent pas avant des siécle, on dis qu'un jour, 1 cavalier, corrompu par le mal arriva dans ses forges, et s'empara de l'une d'elles pour se battre contre ses poursuivant, cette lame ne le choisie pas, mais une autre l'appela, le chevalier s'empressa de prendre cette lame et se battit, on dis alors que son corps se transforma en un corps démoniaque et qu'il devint l'un des guerriers les plus craint, il répandis sur la terre, un flot de sang et de carnage, il fut craint et régna sur le monde en maitre de la destruction, mais un jour, les guerriers celeste le firent prisonnié et l'emprisonnérent dans les forges, lui plantant sa lame dans le coeur, le rendant ainsi immobile, jusqu'à ce qu'un jour cette lame sois retiré...mais le temps passa et la pierre emprisonna le corps, et un autre chevalier subis le même sors, sans avoir eu le temps de se battre, piégé par les chevaliers céléste....ces épée étaient disont on, noir comme la nuit, et dégagé une impression mauvaise...

Lucifel regarda la salle, tout le monde s'était arrété sur son masque des morts incrusté à l'aide de ses cotes sortante sur son torse Il souriait, et commença à manger seul , car tout le monde le regardait!!

- Que vous arrive t'il? auriez vous quelque chose qui vous géne?

Lucifel savait que Sereglin allait parler.

- Je ne l'avais pas entendu comme cela... J'adore...

Sereglin regarda Lucifel manger tranquilement, puis se tourna vers son capitaine sans faire attention aux nobles épouvanté par cette simple histoire.

- Mais ça, c'est l'histoire d'une des sept...

- Quoi? Vous voulez dire que vous savez où sont les six autres?

- Dire des six autres, peut-être pas, ce serait mensonge, mais... Je connais le destin de quatre d'entre elles...

L'assistance était aussi silencieuse qu'une tombe, mais Sereglin n'avait que faire de ses pauvres nobles, il ne parlait que pour Lucifel et son fidèle capitaine, pour le roi aussi vu qu'il venait d'arriver.

- Deux chevaliers dont les âmes étaient plus noires que les ténèbres s'emparèrent également d'une lame chacun. Ils évincèrent nombres de paladins blancs. Le plus mauvais parcouraient les terres séches, alors qu'il se reposait dans un petit village un volcan gronda et la lave coula à vive allure sur la pente, il mourut brulé. Le deuxième tomba dans un guet-apens et fut coulé vif enchainé à son épée dans les abysses profondes de la mer.

Il marqua une pause, puis reprit, cela lui semblait étrange de parler autant, mais Lucifel était tout comme lui.

- Pour ce qui est de la troisième lame, je l'ai de mes yeux vu se briser, par je ne sais quel maléfice, mais toutefois le chevalier fut tué et le tout jeté dans un marécage.

Enfin un sourire apparut à ses lèvres et il ajouta

- Quant à la quatrième lame, elle se balade actuellement à la hache d'une jeune femme d'humeur assez désagréable...

Puis il se remit à manger, tout comme Lucifel, comme si de rien n'était.

- Donc il reste deux lames dont on ne sait pas ce qu'il s'est passé...

- Trois, n'oublie pas la première. Quant aux chevaliers morts... Les lames étaient maléfiques, qui peut dire que les chevaliers ne l'étaient pas? Si c'est le cas, peut-être ne sont-ils pas morts...

Slorak écouta cette épopé totu en se delctant des mets de ses cuisiniers. il aodrait vraiment cette cuisine mais cette histoire l'intriguait a un point intense.

LEs lames était peut etre perdut ou oublier mais il savait ce qu'il avait a la main. LEs autres chevaliers réuni aurait peut etre put servirent le royaume ceci pourrait être une chose utile.

Hmmm toutes ces épopées me laisse de marbre, mais je dois admettre que leur porteur nous serait utile ! imaginez....

Il laissa une courte pause. et reprit

Lucifel comment savoir si une lame porter par un homme est une de ces lames ?

Lucifel s'arréta de manger et se levant il se mis bien en vu de tout le monde.

Mon roi, vous me demandez comment savoir si une de ces lames est portée? C'est simple, vous en avez un qui se cache parmis les gens de cette salle. Facilement vous la trouverez si vous suivez bien la mort et le sang, ces lames ont derrièere elles, des milliards de morts....

Lucifel marcha et pris son épée noire, la posant devant son roi.

Souvenez vous de ceci, je fut emprisonné dans une cage de pierres dans les entrailles de la terre...et ces lames sont immortels, et donnerons vie à celui qu'elles on choisie...

Lucifel s'éloigna et regardant Sereglin sourit, il posa sa main sur son masque des morts et celui ci brilla.

Souvenez vous bien...l'un deux fut emprisonnait dans les entrailles de la terre, et le jour venu la septiéme trouvera son maitre.

Les yeux de Lucifel se tournérent vers Sereglin.

Sereglin soutint le regard de Lucifel, mais ne dit absolument rien. Lentement, presqu'inéxorablement, il tourna la tête vers le roi et d'une voix plus basse que jamais, il dit

- L'épée choisit le porteur. Elle a sa propre âme. Noirceur, sang, désolation, destruction, carnage... haine. Le porteur subit tout ces désirs. Pour trouver le porteur, offrez-lui tout ce que la lame veut.

Une fois de plus, Sereglin tourna la tête lentement vers Lucifel. Dans la salle il n'y avait plus de bruit, les nobles plus péteuchards que quiconque tremblaient de peur assis à la table, leurs épouses affichaient des visages dégoutés par l'annonce que les deux chevaliers faisaient.

Slorak fut très attentif au dire de Sereglin ! Toutes ces histoire lui plaisait, mais rien ne lui semblait possible. Mais dans se monde de violence plus rien ne pouvait l'étonner ! Il s'installa au fond de son siège et observa l'assemblé qui avait blémit face aux dire des deux chevalier !

Lucifel ! mon ami, dit moi donc franchement ! es tu l'un de ses chevaliers sanguinaire? car je pense que si c'est le cas, la guerre prendra un tournant positif pour notre armée

Le visage de Lucifel fut soudain changé et un sourire énorme, carnassier apparu sur son visage, alors ses yeus gris pâle se tournérent vers le roi Slorak, et marchand le dos vouté, Lucifel saisi l'épée, la lame émit une lueur rouge dés que Lucifel pris celle ci et alors Lucifel la posa devant ses yeux.

Suis je ou pas l'un d'eux?...voyons mon roi, ne le devinez vous pas au fond de votre coeur? Notre victoire est certaine, car aux nomnre de 5 sont lles épées en route vers notre domaine, la sixéme, toujours est dans la terre et la septiéme...dors dans votre domaine même, attendant son propiétaire.

Lucifel lecha la lame et regarda l'assemblé.

Je me nomme Lucifel, et voici Thanatos, l'épée de la destruction, elle est l'une des septs épées forgé par les enfers, ma vie, mon avenir n'est que destruction, et je tuerais tant que Tahantos le demandera, elle m'offre l'immortalité en échange je lui offre sang et déstruction. Vous avez peur couards? Alors que votre roi est la? Auriez vous des doutes sur sa force?

Lucifel déhabulé dans la salle, son épée en main, il pris par le collé un des nobles et serrant les dents attendis.

- Paix, je t'en prie, Lucifel.

Et Sereglin se tut, ce fut son capitaine qui interloqué continua

- Vous voulez dire que... Mais comment est-ce possible? Je veux dire... Le Seigneur Sereglin a raconté le destin de 4. Dont trois perdues. N'est-ce pas, Seigneur?

Sereglin pour toute réponse ne fit qu'un signe affirmatif, cependant, il dit

- Je ne connais rien de la première ni de la deuxième. Quant aux histoires de la troisième ainsi que la quatrième, j'ai quelque peu recherché sur leur passé, j'ai trouvé des vérités, mais je ne puis dire si cela est vrai. La cinquième, je maintiens qu'elle a été brisée, pour la simple et bonne raison que c'est contre moi que la lame s'est brisée. Pour la sixième il suffit de demander à Seniel, je suis sur qu'elle se fera une... joie... de répondre et pour la septième, cela je n'en sais fichtre rien...

Lucifel laha le noble et se retournant d'un coup fixa Sereglin.

La septiéme te reviens, elle t'attent, seul une personne ayant assé de mal en elle peu briser une lame qui se tourne contre lui, si ce que tu dis est vrai, tu es le septiéme, et ne t'inquiette pas la lame n'es pas détruite, par contre, le maitre...doit souffrir en ce moment d'être posséder par l'épée...

Lucifel pris un bou de viande et le machouilla, et envoya un autre bou au chien.

Va chercher Seniel mon beau.

Un lourd silence pesa sur l'assistance une fois que Lucifel eut finit de parler. Sereglin regarda Lucifel sans un mot, sans lacher son regard sur le guerrier.

La septième lame... Etait-elle pour lui? Non, impossible, il n'était pas à ce point imbu de sang. Il ne voulait que se battre pour une cause qu'il défendait. Etait-elle celle du sang? Non, surement pas.

- La lame s'est brisée, je ne sais comment, elle avait été levée contre moi, mais quand elle à éclaté en morceau, nous ne croisions plus le fer. Il a lever son épée, j'ai levé les miennes et la sienne a explosée.

Le capitaine, fidèle serviteur de Sereglin, regarda son maître éberlué, les nobles à la table du roi toisait tour à tour Lucifel et Sereglin sans savoir sur qui arrêter les yeux.

Voulait-il la septième lame? Pour le pouvoir, être plus fort? Oui, il voulait être plus fort, mais être dépendant? Cela non, il le rejetait fermement. Dans le couloir on entendit un aboiement, surement Seniel...

[post précedent: Dans la cour]

Tout du long du voyage, le chien n'arrêta pas d'aboyer, ce qui tapa sur les nerfs de Seniel. Puis il s'arrêta devant une porte et s'assit. Seniel ne douta pas que Lucifel était de l'autre côté. Le revoir la mettait hors d'elle. Elle poussa la porte qui tourna rapidement sur ses gongs.

- Ton chien commence vraiment à me faire ch...

Elle s'arrêta dans son élan, voyant tous les visages se tenant si correctement à table tournés vers elle. Même le roi était là. Elle fixa Lucifel, ne donnant aucune excuse et dit

- Ouiiiiiii? Que puis-je pour toi?

Lucifel marcha vers elle pris son bras et lui coupa le poignet, elle hurla de douleur et de rage et lui balança un coup de poing dans le visage, Lucifel se plia en arriére, la tête en arriére, puis se relevant lentement, Lucifel regarda le bras, la lame de Seniel brillait et la plaie disparue.

C'est bien ce que je pensais...en voila une seconde...déja deux dans un même lieu, et trois autres sont en route...Seniel, tu as eu cette épée ou? Et as tu au moins conscience que tu possédes un des rare trésor de ce monde?

lucifel riait, soufflait, tel un démon, les yeux plein de vice et de désir.

...Qu'une tel épée soit dans tes mains....mais quel plaisir....plaisir, que je vais faire une occasion de monter à notre roi de quoi tu es capables petite pucelle. EN GARDE.

Lucifel dégeaina son épée et la posa sur son épaule pointant son doigt en signe d'approche vers Seniel.

Lucifel s'avança vers Seniel, la lame de celle ci ne pu couper le flanc de lucifel, qui posa sa lame avec une vitesse folle sur le cou de Seniel. Lucifel souriait et posa son front sur celui de Seniel.

- TTTT....tu devrais le savoir, une lame ne coupe pas si ton adversaire avance trop prés de toi...dommage tu es pourtant forte, et ta haine tu crois l'avoir d'ou? de ton pauvre passé, la haine ne donne que la force du déséspoire, ton épée la appel le sang, son âme hurle pour boire le sang, mais tu ne l'entents pas, trop aveuglé par ton obstination à ne pas voir ce qui est présent...regarde donc ce qu'il en est, regarde donc ton épée, sa lame est elle ordinaire? Son pouvoir est il ordinaire?

Lucifel recula et frappant l'épée de Seniel il changra radicalement de visage et d'attitude, la colére avait pris les traits de son visage, et la soif de sang se fit sentir, les nobles criaient, les nobles hurlaient, mais aucun de deux combattant ne les entendait, trop heureux de se battre.

- T'ai je déja dis que je te detesté? Mais à plus haut point, je te hais, parce que tu n'es pas à ta place, on dirais une chose inaccessible et je hais l'inaccessible.

Lucifel avait tout de même le flanc saignant, et cela le fit rire, la douleur il aimait ça, et la mort ne lui faisait plus peur.

Sereglin regarda avec étonnement, la blessure qui disparaissait sur le bras de Seniel. Puis il étudia avec attention le combat qui s'engageait entre les deux paladins. Il garda le silence et afficha un regard froid sur les combattants, tandis que le capitaine acclamait chaque coup donné. Les nobles semblaient appeurés, alors ne parlons pas des Dames. Seul le roi n'était pas affecté.

Sereglin regarda Seniel un instant, ces yeux si noirs, si haineux, puis il posa le regard sur Lucifel, cette soif de sang, ce désir de tuerie. Non, il ne voulait pas d'une telle lame, pas lui, non... Non...

Lucifel reçu le coup, sa tête vola dans les airs, Le corps tomba à terre et le sang coula. Les nobles hurlérent, et pleurérent, mais un rire se fit entendre, un rire venu de la terre elle même, non le rire était la terre, et la tête de lucifel fut fumée, énergie, et revient sur le corps. Lucifel se releva, ses yeux gris était devenu deux flammes de haine rouge, un rictus de haine sur son visage, qui disparu, pour laisser place à la plus terrible des expression, celle de la mort.

TU NE PEUX ME TUER AVEC TON ARME...TU ES DES NOTRES....

Puis Lucifel frappa Seniel au ventre, elle se plia, il la saisi dans ses bras et lui asséna un coup derriére la tête, mettant son corps inerte sur ses épaules il la posa sur une chaise. Les nobles hurlaient, lucifel las de ces cris pirs un couteau et le lança dans le cou d'un noble les bruits s'arrétérent d'un coup. Lucifel regarda Sereglin et lança.

Tu penses que ce que tu viens de voir viens de nos épées? Loin de la, elle ne font que faire resurgir nos pensées les plus profonde, et de plus, 7 lames, 7 états, le sang, la haine, la mort, l'envie, la coélre, la raison, la folie, la destruction, font partie de ces lames, à toi de maitriser chacun de ces atouts, car ce monde n'est pas que force et destruction, mais peut aussi être technique et refléchis. Tout dépend de la maniére de combattre.

Soudain la tête de Lucifel vola à travers la pièce. Seniel était plus remarquable au combat qu'il ne l'eut pensé. Mais comme sorti d'une tombe, sa voix s'éleva dans la salle.

Puis Lucifel, plus terrible que jamais, frappa la jeune femme qui tomba inconsciente dans ses bras. Il la posa sur une chaise et il parla à Sereglin. Longtemps le Duc resta muet, le visage impassible, les yeux froids. Puis sans bouger, sans montrer aucune émotion, il dit

- Non, je n'en veux pas.

Slorak amusé apr ce spectacle ne retint en rien les deux chevaliers qui s'affrontait, mais il preferai les voir garder leur belliquesité pour le champ de bataille. il se leva et fit quelque pas son épée vibrant d'un karma sombre et ardent, mais il la laissa au fourreaux !

Lucifel, serai tu capable de localisé l'endroit ou sont lames, meme si nous ne pouvons les utilisé,je prefère les asvoir entre mes mains plutot qu'entre celle de personen capable de les utiliser contre nous !