Le Trône

Trône, beau et majestueux
Où siège notre roi.
A genou devant sa loi,
Et jamais ne levez les yeux...

Le Trône Ci11ad4

je m'agenouille devant toi Ô roi, mais jamais je ne baisserais les yeux, car je ne suis qu'un chevalier, et non ton esclave, mais je te devrais respect, jusqu'à la fin des temps.

Lucifel léve les yeux et d'un regarde de défit regarde le roi.[/b]

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

Un trone, uen épée ,une histoire voila ce qui habitait l'esprit du seigneur de cet ordre obscrur méconnu du grand publique. Assis fièrement sur le trone de son chateau, mais le futur trône du monde, Slorak observa son chevalier qui s'agenouillait face a lui.

Des airs de défis et d'arrogance, cela lui plaisait, et Slorak ne pouvait en vouloir a son compagnons pour cela,il en aurait fait de même. i lsentait la haine et la volonté de vaincre en lui. i ll'aprréciait déja.

Tu me dois le respect certes, mais je te rendrai le même respect que tu m'offriras. relève toi chevalier, la place d'un vainqueur n'est pas celle d'un homme a genoux....

Lucifel se releva.

Seigneur, c'est un immense honneur que de servir votre cause, ou que vous alliez je vous suivrait, mais en contre partie, je demande de pouvoir tuer et me battre sous les banniéres du clan, et partout d'étendre votre grace.

Lucifel regardait le roi, un roi digne de régner sur un monde, un monde ou la route qu'ils engageraient serait parsemé de sang.

La pièce concentrait toute la lumière sur le trône où Slorak était assis, alors nul ne vit l'arrivée d'un paladin tout de noir vêtu. Il marchait silencieusement dans l'obscurité, passant derrière les colonnes qui bordaient la pièce.

Arrivé au plus près du trône restant un tant soit peu en retrait, les bras croisés il acquiesça à Lucifel sans dire un mot. Puis il s'inclina respectueusement devant son souverain.

- Seigneur, vous m'avez fait mandé, je crois...

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

Slorak observa son jeune chevalier fougueux, et très engagé dans les guerres encore endormi. puis l'arrivé de Sereglin laissa naissance a un petit rictus sur le visage du Roi.

Sereglin, je t'ai bien fait quérir... j'ai une requete a te faire...

Il regarda le jeune chevalier puisson duc et inversant ensuite le mouvement. son sourir ne faiblissait pas,il regarda leur arme a tout les deux.

Je souhaite vous voir combattre, mais attention ne souillez pas le sol pur de cette sale ave votre sang prcieux qui nous menera a la victoire la plus parfaite....

Sereglin s'inclina une nouvelle fois et tira son épée du fourreau.

- Et bien soit... Il en sera fait selon votre volonté...

Il salua également Lucifel par une prise d'arme.

[prochain post: Duel]

Lucifel entra et balança le corps du pauvre homme.

Voila votre bonhomme sir, un brave homme, il m'as servit de défouloire, et de mascotte, c'est marrant ce que les humains peuvent être faibles. Enfin bon voici votre bonhomme sir, dois je le tuer?

Lucifel posa ses doigts sur la gorge du pauvre homme qui implora qu'on le laisse en vie.

Seniel suivit Lucifel dans la pièce où le siege du roi trônait. Elle s'approcha avec fierté bien que montrant du respect pour le régent. Elle en profita pour regarder la sobre et sombre décoration. A part le trône magnifique, on ne distinguait pas grand chose. Elle s'inclina tout d'abord devant le roi. C'était d'ailleurs la première fois qu'elle le rencontrait à vrai dire, mais à part le respect envers lui, elle ne dévoila rien sur son visage froid. Elle tourna ses yeux noirs comme les ténèbres vers Lucifel et ajouta

- Ce n'est pas le moment, si le roi l'a demandé vivant c'est pour une raison...

AH?

Lucifel tourna le dos à Seniel et contempla le plafond, il se demandait comment cela se faisait qu'un roi aussi majestueux que Slorak puisse vivre dans cette ombre, la lave et le feu lui manqué, mais il passa cette pensé et continua a contempler le plafond.

Lucifel lacha son prisonier qui tomba à quatre pattes, implorant le roi de sa clémence et de sa pitié. Puis au plus grand plaisir de Seniel, il lui tourna le dos.

Un éclair traversa son regard et instinctivement elle se pencha pour se saisir d'un couteau caché dans sa botte. Mais un bruit de frottement lui fit remettre en place les idées, le roi était là. Elle ne pouvait pas.

Elle se redressa avec peine, sa haine pour le chevalier n'avait pas d'égale, elle ferma les yeux, tremblant à moitié essayant de s'autodissuader de ne pas chercher à le blesser.

Alors elle tourna le regard vers le roi et le fixa serrant son poing de toutes ses forces. Il avait de la chance, elle ne pouvait pas le toucher maintenant, mais elle allait prendre son mal en patience et se vengerait plus tard.

Son autre poing serrait la garde de son épée avec tant de force qu'une nouvelle fois une fine fumée noire passant à travers le fourreau s'en dégagea. Heureusement pour elle que personne ne l'a voyait ainsi plongée dans l'ombre.

*Non, pas maintenant...*

Elle desserra son poing et la fumée se dissipa comme elle était venue. Dans un geste controlé avec soin elle se tourna lentement vers Lucifel et dit d'une voix miéleuse

- Eh oui, il y en a qui réfléchisse avant d'agir...

Lucifel se tourna et marchand vers elle il mis sa lame sous son cou. Il avait un regard ironique et sadique.

Je te déconseil de lever ton arme contre mou ma douce, car si toi tu as peur de notre roi, il en est pas de mon cas, je ferais comme bon me semble, avec toi ou une autre, si cela ne te plais pas, tu n'as qu'a modire le jour ou tu es née, je suis un démon et je ne craint pas la mort, ne me provoque plus si tu tiens à la vie.

Lucifel lecha la joue de Seniel et s'éloigna, il fit un signe de la main et salua son roi.

La lame sous la gorge, Seniel plongea ses yeux noirs dans ceux du démon qui la menaçait, elle lui murmura:

- Je n'ai peur que d'une chose c'est que je ne puisse assouvir ma vengeance, je n'ai peur de personne, quant au jour de ma naissance, je le maudit depuis plus longtemps que tu ne pouras jamais imaginer... Ne me provoque plus non plus...

Quand il lui lécha la joue, elle retint une nouvelle fois son poing à la dernière seconde, bien que son corps tremblait d'une haine sans nom. La rage lui bouillait les tripes, sa vue se fit rouge, ses yeux devinrent des abysses profondes. Elle se retourna avec violence et la seule chose qu'elle pouvait frapper et qu'elle trouva fut l'homme qu'ils avaient ramené. Elle lui décola une baffe si monstrueuse que l'homme s'écroula à terre, la bouche en sang, quelques dents en moins, inconscient. Elle reprit ses esprits et releva la tête vers le roi.

- Je suis profondément désolée, Seigneur... La colère amène à des situations délicates...

Lucifel grimpa à une colone, sa tunic déchiré en haut n'était intacte que en bas, sur un patalon noir. Il grimpa et se mis à croupis au sommet de cette colone, son regard dénué de sentiments, la colére la plus primaire se laisait dans ses yeux, et ses yeux gris pâle avaient viré au rouge et semblaient être deux brasié. Son épée planté dans la colone, il toissait Seniel, et le pauvre homme inconscient, une vent se leva et lucifel le savoura, un vent froid.

Tu maudait le jour de ta naissance? que c'est triste, je bénis celui de ma mort, car maintenant, j'ai outre passé les lois de ce monde, je posséde une force qui dépasse la tienne et celle de n'importe qui, je peux assouvir des royaumes entier, mais je ne cherche ni la fortune, ni le pouvoir, je veux me battre contre les plus fort, et tout détruire.

- J'en ai plus qu'assez!

Elle se tourna vers le roi et s'inclina elle ajouta

- Je m'excuse, Seigneur, mais je préfère me retirer avant que quelqu'un ne commette l'irréparable.

Après un bref salut de la tête vers son roi, une autre baffe à l'homme pour qu'il se reveille, elle prit la direction de la sortie sans même adresser un regard au chevalier. Elle prit les direction des cuisines vu qu'elle avait faim depuis la lever du soleil.

Lucifel la regarda s'en aller et sauta à terre, derriére son roi.

Mon seigneur, cette femme est trop impulsive et trop bonne pour cette tache de guerrier...Une place d'espion et moins de tuerie lui serait plus approprié...j'ai bien peur qu'elle ne s'enfonce sur des chemins trop douloureux pour elle, je ne nie pas sa force, et sa détermination...mais...c'est une femme...sa mort serais plus douloureuse que la mienne, l'enemis se préoccupe peu d'un homme, mais les femmes, sont toujours les premiére touché par la vengeance de nos adversaires...je demande l'autorisation de veiller sur elle.

Lucifel pour la premiére fois était agenouillé et s'inclinait devant son souverain, pour la premiére fois, il avait laisser sa fiérté et son arogance, et cela pour servire son roi, et assouvir sa soif de mal et de destruction.

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

Slorka se leva et planta son épée sur le marbre de la pièce qui vola en éclat,il était furieux. Seniel n'avait pas encore quitté la pièce

il suffit, vos agissement puérils ne sont pas digne du blason que vous portez. veuillez vous tenir digne. alors effectuez le rapport de cette arrestation !!!

Il se rassit le souffle court, ses vieux os lui était douloureux mais i létait capable de remmtre a leur juste place ses deux officier de son armée

Lucifel frissona, et se releva, défiant du regard son roi, un air carnassier sur le vsage.

Cette homme est celu ique vous nous avez demandé sir, et il complotait encore contre vous dans une maison remplis de catins, mais elles sont mortes, indigne de porter le nom de femme.

Lucifel montra quelque cheveux arraché aux têtes des femmes.

Slorak parla juste avant qu'elle ne sorte. Seniel tourna les talons pour faire face à son roi. Elle ne dit rien mais serra son poing fortement. Elle revint rapidement sur ses pas pour se présenter devant le roi et dit d'une voix froide

- Je crois qu'il a tout dis. Après nous avoir imputé cette mission nous sommes allés dans une auberge dont le tavernier nous a assuré que c'est l'homme que vous recherchait. Il a même avoué après une demande convainquante. Maintenant, Seigneur, si vous m'excusez, j'aimerais m'éloigner de cet... individu.

Elle avait clairement défini que l'individu en question n'était autre que Lucifel en le pointant du doigt. Elle se tourna et ne regarda plus en arrière. Elle sortit de la sombre pièce sans aucune autre parole ni regard.

[prochain post: Les cuisines]

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

slorak regarda l'homme a terre et écouta les rapport de ces soldats. se levant et sortant so népée du fourreaux il regarda le malheureux. sa lame s'abbatit sur sa tête la tranchant net. la tete roula sur le marbre de la salle

Ceci sera la sort de tous ceux qui conspirerons contre moi ! a présent jettez son corps au chien et envoyez sa tête en ville a ses camarades

[De l'autre côté des Remparts]

Sereglin entra silencieusement après qu'on eut ouvert les lourdes portes de bois massif frappées de métal. Il remonta la longue salle lugubre avec le seul bruit de ses éperons qui tintaient doucement sur le marbre sous ses pieds. Sa cape volait derrière lui, sa marche était rapide. Devant le trône il s'arrêta, baissa les yeux puis mit un genou à terre, une main appuyée sur l'autre genou, l'autre tenant la garde de son épée. Il parla alors audiblement, bien que la pièce n'aie eu nul besoin d'élever la voix tant elle était silencieuse.

- Seigneur, pardonnez mon impolitesse d'être resté plus longtemps en mes terres. Cela ne se fera plus.

C'était bien curieux, c'était bien la première fois que Sereglin s'excusait devant quelqu'un. Il laissa un moment de silence avant de reprendre.

- Les rumeurs disent qu'un nouveau combattant s'est joint à notre cause, puis-je poser la question de connaitre son nom, Seigneur?

Sereglin alors se tut, restant un genou sur le sol froid dans cette grande pièce froide où le silence lui-même traversait les êtres comme le vent glacial le fait d'un pauvre habit...

Tout Puissant Nombre de messages : 31 Age : 34 Date d'inscription : 12/11/2006

Slorak restat un cours moment silencieux, perdut dans ses pensés; il se demandait comment allait se tramer la guerre dans laquelle il perirai sans doute !

Puis Sereglin arriva, dans sa mejsteuse nouirceur ! il questionna le roi sur le nouveau guerrier ! Slorak fit un simple signe de la main pour lui indiquer de se lever !

ne t'en fait pas, tu as mérité amplement ce retour chez toi ! quand a ce nouveau guerrier ! il désire etre nommé par le terme d'étranger ! libre a toi de percé se mystère

Slorka claqua des doigts et un serviteur arrivé ! Slorak lui demanda un verre de vin ! il regarda sereglin et lui sourit amicalement

ce voyage a du vous ouvrir la soif ! que désirez vous ?

Sereglin se redressa comme le roi le voulait. Il sourit alors, un sourire qui n'apparaissait jamais sur le visage du chevalier... L'Etranger... Il faillit même rire qui était fort peu de coutûme pour un être aussi froid et stoïque comme il l'était, mais Sereglin se ravisa... L'Etranger... Puis le roi lui demanda s'il avait soif.

- Je prendrai un verre de votre meilleur cru, Seigneur...

Puis alors que le serviteur se retirer pour aller chercher ce que les deux hommes avaient demandé, Sereglin ajouta

- Le mystère est déjà percé, si vous me dîtes qu'il se nomme l'Etranger. Je puis vous dire même de quoi il est vêtu: un simple vêtement gris, transportant plus de lame que quiconque ici. Il va à pied et n'est pas de cette partie du monde. Est-ce cela, Seigneur?

C'est bien cela mon ami
Tu t'es remémoré
Alors que le temps, lui, oublie

L'Etranger était derrière un pilier
Que cette grande salle comptait.
Lentement il avança
Pour être devant son roi
A côté de son ami
Puis il dit cela et rit

Veuillez m'excuser Seigneur si je vous ai dérangé
Mais je ne pouvais attendre le retour d'un ami
Trop longtemps nous ne nous sommes pas vu
Les retrouvailles doivent être de mise et joyeuses!

Une voix venait de s'élever dans la noirceur des ténèbres environnante. Sereglin ne parut pas étonné de l'entendre et ne se tourna pas quand la voix transperça le silence.

Cependant, sur son visage pouvait se lire, un léger sourire à peine visible, mais présent. Une fois que Shizuka vint près de lui, Sereglin se tourna vers lui et l'empoigna dans une embrassade comme l'aurait fait deux frères depuis longtemps séparés.

Quiconque voyait Sereglin dans cet état-là serait cloué sur place. Jamais auparavent pour ceux qui le connaissait depuis qu'il était dans l'ordre n'aurait pu prédire une telle ouverture.

Enfin il se sépara des bras de Shizuka et reprit son air impassible. Puis il se tourna vers son roi et dit alors:

- L'Etranger et moi avont combattu ensemble une fois ou deux. C'est une exélente lame, Seigneur et loyale. Je m'en porte garant. Son nom doit être tu, mais pour l'appeler, il suffit de prononcer l'Etranger.